Questions fréquentes (FAQ)
sur les implants dentaires

Non. Comme la grande majorité des soins dentaires, cette intervention se déroule sous anesthésie locale. Vous ne ressentirez donc aucune douleur au cours de l’intervention.
Les suites d’une chirurgie implantaire sont souvent simples car la plaie résiduelle est fermée en première intention.
Il est toutefois possible de ressentir quelques douleurs dans les 48 à 72 heures qui suivent l’intervention mais celles-ci cèdent facilement aux antalgiques de premier palier (paracétamol, ibuprofène…)
Non et… oui. En général, il faut attendre une période d’ostéo-intégration d’environ trois mois avant de mettre en charge un implant. Toutefois, lorsque certaines conditions sont réunies, il peut être envisagé d’installer une dent provisoire le jour de l’intervention, s’il y a un fort enjeu esthétique et si le port d’une prothèse amovible transitoire doit être évité.
Nous pourrons, lors de votre consultation, évaluer les avantages et inconvénients de chacune des solutions.
En effet, dans certaines situations cliniques, le volume osseux est insuffisant pour envisager une réhabilitation pérenne. Toutefois, il est quasiment toujours possible d’aménager ce volume afin de le rendre compatible à la pose de vos futurs implants.
Chaque situation étant différente, nous pourrons faire un bilan personnalisé afin de déterminer le type de reconstruction le plus adapté.
Les implants dentaires sont en titane pur ou alliés. Ce métal, également retrouvé dans d’autres prothèses orthopédiques (hanche, épaule…) est totalement biocompatible et permet une l’obtention d’une « soudure biologique » entre votre os et votre implant. Nous parlons alors d’ostéo-intégration.
Ne vous inquiétez pas, les implants dentaires ne sont pas magnétiques et sont beaucoup trop petits pour déclencher une réaction du détecteur. De la même façon, vous n’aurez aucune contre-indication à passer une IRM.
Oui et… non, mais c’est l’objectif. Un implant reste un dispositif médical implanté dans un environnement hostile tant au niveau microbiologique que mécanique. Il est possible de développer des complications infectieuses autour de vos futurs implants, qui peuvent par exemple être aggravées par des facteurs exogènes à l’image du tabac, pouvant aller jusqu’à la perte de l’ implant. Des complications mécaniques telles que des dévissages de certaines pièces prothétiques peuvent également survenir en cas surcharge.
La prise en charge d’une complication est d’autant plus simple qu’elle est précoce, d’où l’importance de la régularité de vos visites de contrôle.
Quoi qu’il en soit, à ce jour, on ne fait pas mieux qu’une dent…
Comme vous le savez probablement, les implants ne sont pas pris en charge par la Sécurité Sociale mais un remboursement par votre complémentaire santé est possible.
Nous proposons à la Maison du Sourire une gamme thérapeutique premium et tâchons d’essayer de la rendre accessible à toutes les bourses car nous considérons qu’il ne doit pas y avoir d’obstacles à la qualité en matière de soins.
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